mercredi 17 décembre 2014


Qui a dit que j'étais mort ?
Qui a dit que quand on est mort, on est plus vivant ? C'est juste un gros à priori. La preuve, je suis bien là, et c'est avec un morbide plaisir que je profite de ce cours instant ou mes orbites vides, ne souffrent que beaucoup (au lieu de très beaucoup), de l'excès de luminosité.

Lisez Stanislas Lem, bon c'est vrai il y a le connu Solaris, mais lisez La Cybériade ! Juste génial.
Je trouve que Cosmos de Gombrowitz résonne avec le Voyage au Bout de la Nuit.
La distraction putain ! Oui, mais c'est aussi cela qui me pose problème ! Et qui me fait rigoler en même temps.

Bon j'ai pas le temps de développer putain, j'ai les yeux en patates, mon squelette cliquette ses doigts sur le clavier ce qui fait résonner la racine des dents de mon lapin pas nain.

Une hagstrom Swede a vendre si ça interesse quelqu'un. Guitare electrique type Les Paul, un peu. Rouge cerise, état niquel. Avec ampli Marshall au besoin.
Et éventuellment une Simon Patrick cèdre, folk.

Je suis pour le don d'organe, mais je préviens, si je donne mon coeur je vais faire un malheureux

Bon, continuons de nous distraire, mais pas de la façon conne répandue. Il vaut mieux regarder un pavé et lui inventer une histoire et des tourments, que de regarder un film à la con, ou même jouer à une jeu vidéo, en fait, car c'est bien vrai qu'au final il ne faut gacher aucun moment, que chaque seconde de notre vie (ou notre mort), doit etre mise à contribution pour essayer de saisir des choses du "réel"

Bon. Sinon.
ETIENNE KLEIN S'IL TE PLAIT PENSE AUX GENS NULS EN MATHS MËME SIMPLES
EXPLIQUE JUSTE AVEC DES MOTS

Je n'arrive pas à lire son essai sur la physique quantique.
Bon j'ai bien compris la base pourtant.
Il y a un atome, trilili, un petit atomibus toutiquantus, autour duquel, de qui, de celui que, je,tu, gravite un éléctron.
Et cet éléctron, il peut être ici et là en même temps. Un peu comme dans Ubik, comme quoi Dick était pas si débile quand même, il avait compris qu'une chose peut tout à fait en être une autre, tout en restant soit même.
Et inversementimus.
Bon. Ok. Et le principe de Heinsenberg, d'indétermidation. Mais là déjà je nage un peu car j'ai du mal à comprendre tout car celle ci n'est pas assez précisément définie.
On peut douter de ce qu'elle sous entend. Et une fois qu'arrivent les Maths, même juste de A B C, ca y est, je tremble de partout.
Je n'ai jamais pu supporter les maths, pourtant en soi j'adorais, le principe.
Parceque, a un moment, il faut que je visualise, que je rattache les mathématiques à une sorte de dessin animé, qui raconte la vie. Et non, il faut pas.
Les maths se suffisent à eux même.
1 + 2 = 3 ?
Oui, d'accord, mais 3 quoi ?
Il n'y a rien qui est 1 ou 2, dans la vie.
Il y a 1 arbres, mais pas 1 tout seul.
Donc à un moment il faut mettre des mots. Car les chiffres tout seul, ça rend fou.

J'ai faim
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